Dès notre éducation, nous avons tous appris à être « bons » avec nos parents d’une manière ou d’une autre. Il s’agit d’un « comportement de survie » qui nous permet de bien assumer notre rôle au sein de la famille. Ainsi, nous nous assurions que la famille reste confortable et au moins vivable.

L’ennui, c’est qu’il y a une différence entre les deux.

Ce qui est ennuyeux, c’est que nous continuons à jouer ce rôle après avoir quitté le foyer parental pendant de nombreuses années. Beaucoup d’entre nous deviennent si bons dans leur « comportement de survie » qu’ils en font même leur profession. Dans ma pratique, par exemple, j’ai rencontré des vendeurs très performants (empathie et plaisir) et des médecins spécialistes (attention et perfectionnisme). C’est très bien si vous faites cela dans un tel travail, mais dans une relation, cela peut jouer en votre défaveur.

Lorsque j’avais l’habitude de travailler avec les autres, j’ai commencé à m’intéresser à eux.

Quand je voulais entrer en relation, d’ailleurs, j’ai beaucoup souffert de cela. Ça ne marchait pas vraiment bien de construire une relation. Mais oui, pendant longtemps, je me suis dit que je n’avais pas encore rencontré la bonne. Il a fallu un certain temps pour que je comprenne que ce n’était pas la faute à pas de chance, mais que j’avais encore quelque chose à apprendre. Mais que j’avais encore quelque chose à apprendre. Beaucoup de choses ont changé après cela.

À un moment donné, j’ai pensé que vous étiez là. Après tout, en tant que coach, vous vous occupez beaucoup du comportement humain et des schémas comportementaux. Chez une autre personne, je vois tout cela si facilement et si clairement. Alors, après toutes ces années, je me suis dit que je devais aussi tout voir clairement en moi. Pas possible… Cet ego.

Au cours d’une bonne conversation avec un ami, j’ai découvert que j’attire toujours les gens qui ne me voient pas tel que je suis vraiment. Ce que je fais, c’est donner beaucoup d’attention, d’amour et de soins. Et il m’arrive encore régulièrement de ne pas en recevoir en retour. Et les personnes qui me donnent beaucoup d’attention, me touchent moins. Comme c’est bizarre ! Cela m’a encore frappé de plein fouet : j’ai moi-même encore du « travail » à faire pour équilibrer mes propres relations avec les autres.

En bref, il est très difficile de trouver le bon équilibre.

En bref, il est important de continuer à réfléchir à son propre comportement et à regarder sa propre part lorsque les choses ne vont pas bien. On a toujours beaucoup d’influence sur son propre comportement. En ce qui concerne le comportement des autres, vous n’avez généralement pratiquement aucune influence. En tout cas, cela m’aide beaucoup de connaître le bouton marche/arrêt de mes propres schémas !

Comment pouvons-nous vous aider?

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